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Le stress...

Je ne sais pas comment le gêrer...en fait si, mais pas pour tout. J'ai tendance a raler enormément et a modre le premier qui passe devant moi. On me demande des choses et des choses a faire... je ne vois pas le bout de ce que j'ai commencé tellement il faut gêrer les autres urgences... Je rale, je tempête, je ronchonne. Il est préférable de ne pas rester dans mon entourage immédiat. Dans ces moments là je sens les larmes pas loin... je pense qu'elles me servent a évacuer la pression car je la gere très mal.

Même les pauses ne me font aucun bien.

Autant dans la vie privée je le gêre presque avec brio, autant au travail ca ne va pas. Je n'arrive pas à m'équilibrer. j'ai le soucis d'avoir l'impression d'être tout le temps juger et sur la sellette. Même si je fais de mon mieux, j'oublie toujours quelque chose et ca m'angoisse.

Je ne suis malheureusement pas faite pour enregistrer plus d'une information urgente à la fois.

enfin... ce n'est qu'un dure moment à passer.

Je suisFatalist et patiente... cela joue en ma faveur.

Encore une preuve que je suis différente des autres.

l'amitié...

Je susi très fidèle en amitié. Pour moi mon groupe est MON groupe. C'est avec eux que j'aime faire des choses, partagé des moments... c'est ma meute.

Quand je me rend compte que certains des membres du groupe s'éloignent ca me fait mal meme si je le comprends.

J'ai parfaitement conscience de la différence d'age ou de l'évolution des gens et du déplacement des centres d'intérêts. Je comprends qu'il y a surement mieux ailleur ou au moins quelque chose de différent digne d'être vécu.

Il n'empeche que cela me fait mal et je leur en veux de

- me tenir à l'écart de cette partie

- Ne pas partagé certains moment avec moi

- Ne pas me rendre la meme fidélité et attention que moi.

Je me rends compte que c'est assez égoiste. Que je demande une exclusivité et une attention énorme... mais de mon coté je donne cette exclusivité et cette attention énorme.

Donner et ne pas recevoir comme je le souhaiterais... je suis exigeante et possessive mais je suis comme ca. Je me restreint un maximum pour ne pas les étouffer ou les envahir... Je comprends le besoin de solitude ou de vie différente... vue que je suis comme ca également... il n'emepche que j'ai du mal a l'accepter quand meme.

Je ne changerais pas... on m'accepte ou non... c'est le choix de chacun.

ceux qui ne connaissent pas les migraines ne peuvent pas comprendre...

C'est une douleur insidieuse qui monte et roule dans la tête. qui pousse le cerveau à grossir tellement qu'on a l'impression qu'il va sortir par tout les orifices possible : yeux, oreille, bouche... cette douleur qui empeche tout mouvement... qui nous l'estomac et fait pleurer.
Elle arrive doucement...tout doucement... tout d'abbord quelques petites pression à l'arirère du crâne, ensuite elle se dilate pour arriver au niveau des yeux et pousse les globes oculaire, puis vien les déportation sur le coeur qui le fait gconé plus vite et qui dit a notre estomac que ce qu'il y a dedant pourrait surement etre mieux dehors et enfin la douleur qui paralyse...
La migraine....

Elle n'est pas néfaste puisque c'est à ce moment que mon esprit est le plus "clair" où les idées s'entrechoquent. A ce moment mes textes sont les meilleurs et tout me parait simple.

La migraine... ma meilleur ennemie ou ma pire Amie...

deux solutions pour la faire passer... le sexe ou les cachets. le sexe ne marche pas toujours, les cachets eux, oui... mais me shooter à la morphine et à l'opium n'est pas l'idéal pour mon corps.

Seuls le silence et la nuit me font du bien. Mais comment écrire si je suis dans le noir sans un bruit ? comment se souvenir de ses moments en or?

Pour moi il en existe de deux sorte. La voulu et la forcée.

le voulue est celle que tout le monde recherche régulièrement. un moment plus ou moins long pour se retrouver soit même et plonger au coeur de soit pour une "petite mort" et réssusiter plus fort. celle qui permet la recherche de soit, la résolution de problème existenciel, la remise en question.

la forcée est celle qui nous arrive quand nous ne le voulons pas. ou nous nous retrouvons seul a un mauvais moment, celle qui nous fait nous enfoncer dans les méandre douloureux de nous même, qui, comme nous ne sommes pas "préparer" nous inflige le gout de la défaite sur soit car nous n'avons pas la force de nous relever aussi facilement que si nous avions choisit nous-meme d'y entrer.

Ensuite l'une ou l'autre nous avons le pouvoir de les changer. Encore faut il savoir comment le faire ou réelement le vouloir.

Est ce qu'il faut aimer absolument sa famille ? Quand je me compare a plusieurs de mes copines, qu'elles me disent à non je ne peux pas, je DOIS voir ma famille... y un repas... ou pire, qu'elles passent leur temps fourer avec leur famille... je ne les comprends pas.

Soit c'est parce que j'ai eu mon indépendance il y a dix ans à peu près et que j'ai appris a vivre seule... ou bien je suis une egoiste... mais en tout cas je ne suis pas famille pour deux sous.

si je n'ai pas de nouvelles d'elle pendant six mois, je ne vais pas en faire une maladie... je connais des copines qui sont collées au téléphones tout les deux jours plus d'une heure avec leur famille... mais comment font elles ?

Je suis bien, équilibrée et tout, loin de ma famille... avec ma famille je me sens regresser presque 20 ans en arriere, je me sens étouffée. et surtout je meprend tout les problemes sur le dos. L'incompatibilité de mes parents a vivre ensemble, l'arogance désinvolte de mon frere, la grand mere qui devient maboul... c'est moi qui porte tout!

J'aime quand je suis réelement chez moi avec mon compagnon. Là j'ai l'impression d'etre enfin autre chose qu'une gamine, je mene ma vie... Ils me font régresser et ca me porte sur les nerfs. ils me font régressé et me mette sur le dos des problemes qui ne me conserne pas. Je ne porte pas les soucis de ma famille ! je n'ai pas à les porter !

Le chat

Viens, mon beau chat, sur mon coeur amoureux;
Retiens les griffes de ta patte,
Et laisse-moi plonger dans tes beaux yeux,
Mêlés de métal et d'agate.

Lorsque mes doigts caressent à loisir
Ta tête et ton dos élastique,
Et que ma main s'enivre du plaisir
De palper ton corps électrique,

Je vois ma femme en esprit. son regard,
Comme le tien, aimable bête,
Profond et froid, coupe et fend comme un dard,

Et, des pieds jusques à la tête,
Un air subtil, un dangereux parfum,
Nagent autour de son corps brun.

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Le parfum

Lecteur, as-tu quelquefois respiré
Avec ivresse et lente gourmandise
Ce grain d'encens qui remplit une église,
Ou d'un sachet le musc invétéré?

Charme profond, magique, dont nous grise
Dans le présent le passé restauré!
Ainsi l'amant sur un corps adoré
Du souvenir cueille la fleur exquise.

De ses cheveux élastiques et lourds,
Vivant sachet, encensoir de l'alcôve,
Une senteur montait, sauvage et fauve,

Et des habits, mousseline ou velours,
Tout imprégnés de sa jeunesse pure,
Se dégageait un parfum de fourrure.

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L'albatros

Souvent pour s'amuser, les hommes d'équipage
Prennent des albatros, vastes oiseaux des mers,
Qui suivent, indolents compagnons de voyage,
Le navire glissant sur les gouffres amers.

À peine les ont-ils déposés sur les planches,
Que ces rois de l'azur, maladroits et honteux,
Laissent piteusement leurs grandes ailes blanches
Comme des avirons traîner à côté d'eux.

Ce voyageur ailé, comme il est gauche et veule!
Lui, naguère si beau, qu'il est comique et laid!
L'un agace son bec avec un brûle-gueule,
L'autre mime, en boitant, l'infirme qui volait!

Le Poëte est semblable au prince des nuées
Qui hante la tempête et se rit de l'archer;
Exilé sur le sol au milieu des huées,
Ses ailes de géant l'empêchent de marcher.

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Beaudelaire... quel beau parleur ! un être torturer et qui aimait ca. un fou, alcoolique et drogué. il est bourrer de complexe oeudipiens... il parait que sa flie est aussi tout un art....

Comme tout le monde je fait des cauchemards ou plutot des rêves désagréables.

il parait que les rêves permettent de réajuster notre conscience du monde avec sa réalité. Après il faut apprendre a les trier et les expliquer. mais est-il utile d'expliquer les rêves ou de leur chercher une définission réaliste plutot que de les laisser n'être que des rêves.

Il y a des rêves qui nous reste longtemps. il y est ds rêves récurant. des rêves merveilleusement effrayant et abobinablement féérique...

Quand je rêve, je ne peux pas dire si ses derniers sont bon ou mauvais dans la majeur partie des cas. Pourquoi? parce qu'il sont tellement détaillé et avec un trame si réelle que je pourrais écrire des romans dessus. D'où me viennent toutes ses idees qui se lient et se melent de telle sorte que mon rêve est digne d'un livre? J'ai la "chance" d'avoir la faculter de m'en souvenir. j'en ai deux ou trois qui me reste pronfodément.

- l'iles aux meurtre : je suis un enquetteur a la hercule poireau, d'un autre siècle et je suis sur une ile ou habite une famille très nombreuse. tout les meblre de la famille meurt les uns apres les autres dans des pièges dignes d'indianna jones (pieu, hache balancier, ecraser par des rochers...) et je mêne l'enquête tel le remeque de cluedo. je suis également la caméra qui filme les morts affreuse.

Je suis souvant et l'acteur et la caméra.

- l'assassin d'enfant.: je suis un assassin qui presécute une famille de quatre presonnes, les parents et lesdeux petites filles. je prend plaisir a tuer les fillettes, à les torturer... y en a une qui m'échape et tombe dans un piscine...dommage pour elle, c'est l'hiver et le meurt dans l'eau presque gelée.

- Les trois histoires de futur: il y a trois histoire. c'est dans un futur tres éloigné et trois histoires se suivent et se chevauche. Le héro est toujours un enfant ou un ado. dans l'une d'elle je suis une petite fille d'une dizaine d'année qui vie dans la "rue" et qui dors dans un remise avec pour seul compagnon qu'un garçon d'a peu pres mon age qui ne veux que me protéger. il dors, je me vois le tuer a coup de poignard planter a plusieurs reprise et délicatement dans son corps et sa gorge. je sens le sang coulé et le bonheur que je ressent est puissant car dans mon esprit de petite fille il me veut du mal, il me violera et me tuera. dans une autre je suis un jeune garcon d'environ 16 ans qui dirige un groupe d'enfant qui se revolte contre les adultes qui les avilie. pendant une escarmouche celle que je considère comme ma femme est tué et au lieu de me débarasser du corps, je le garde contre moi et lui fait l'amour. le troisieme rêve reste assez flou

J'ai d'autres rêves qui sont à chaque fois mêler d'eau et d'enfance. A chaque fois dans ces rêves, j'ai les cheveux couper au carré.

le rêve de la vague: je suis sur une plage et je cherche ou j'attends quelqu'un qui m'est cher. le ciel est couvert ou alors c'est la tempête et une longue vague style tsunami arrive et emporte tout et je sais que la personne que j'attends est dans la vague.

le rêve de la rivière: je suis en train de me baigner dans un rivère à l'eau sombre mêler de terre ou de sable et je suis emporter par le courant, j'aime ce genre de rêve car je n'ai pas peur et je me sens bien.

je rêve souvent de ma famille, enfin surtout de mes cousins cousines meme si je n'ai jamais été très proche d'eux etant la derniere fille de la couvée. c'est toujours dans un mélange des trois maisons de mon enfance. (mes deux grand mere et la maison familliale) et souvant dans ces rêve je sort intimement avec l'un de mes cousins.

les rêve erotiques sont particulier. ils sont de deux sorte celle ou il ne s'agit pas de mon "homme" mais avec un ex. Quand on fait l'amour je ne prend jamais mon pied. l'autre sorte se passe toujours avec d'autre femmes et génaralement plusieurs et je suis celle qui "domine".

Voila en gros le contenue de mes rêves qui n'en sont pas réélement mais qui ne sont pas non plus des cauchemards.

Il y a les vrais cauchemards, ceux qui me réveille en pleur mais il ne reste pas souvent là. Cela sont ponctuels et ne sont pas important car ils sont lier a des angoisses bien présentes.

Des chercheurs ont découvert une paire de jumeaux à mi-chemin entre des vrais et des faux jumeaux, un cas rarissime, selon des travaux publiés cette semaine publiée dans le Journal of Human Genetics. Dotés tous les deux des mêmes gènes hérités de leur mère, ils n'ont, tels des faux jumeaux, que la moitié des gènes de leur père en commun. Ces jumeaux "semi-identiques" seraient issus de la fécondation d'un même ovule par deux spermatozoïdes. Deux embryons se seraient ensuite développés.

Compte tenu de leurs similitudes, ces deux jumeaux se situent à un stade intermédiaire entre des vrais jumeaux — qui ont le même patrimoine génétique — et des faux jumeaux, qui se ressemblent comme des frères et sœurs et sont issus de la fécondation simultanée de deux ovules par deux spermatozoïdes, explique la généticienne américaine Vivienne Souter. Ces jumeaux encore bambins, dont la croissance et les facultés mentales semblent normales, sont aussi des chimères ainsi nommés parce que leurs cellules ne contiennent pas toutes le même patrimoine génétique, chacun des deux spermatozoïdes y ayant diversement contribué.

Deux spermatozoïdes d'un même homme peuvent transmettre des gènes différents, car chaque spermatozoïde ne contient qu'une partie de son patrimoine génétique. Chaque humain a 23 paires de chromosomes, soit 46 au total dans chacune de ces cellules : un exemplaire de chaque chromosome est hérité du père et l'autre de la mère.

Triple jeu de chromosomes

Mais la situation est plus compliquée pour ces deux jumeaux : les chromosomes hérités du père ne sont pas les mêmes dans toutes leurs cellules. Une des explications serait que l'embryon initial issu de fécondation de l'ovule par deux spermatozoïdes aurait hérité d'un triple jeu de 23 chromosomes. Les premières cellules se seraient ensuite débarrassées des 23 chromosomes paternels en trop, mais elles n'auraient pas éliminé les mêmes.

Le cas particulier de ces jumeaux a été découvert parce que le sexe de l'un d'eux était indéterminé. Il s'est révélé être un véritable hermaphrodite ayant à la fois des ovaires et des testicules, alors que son frère jumeau est anatomiquement de sexe masculin. Les tests génétiques ont montré que chaque jumeau, même celui qui est de sexe masculin, avait des cellules avec deux chromosomes X (correspondant au sexe féminin) et d'autres avec les chromosomes X et Y (sexe masculin). Leur proportion relative est variable d'un tissu à l'autre.

L'embryon issu de la fertilisation d'un ovule par deux spermatozoïdes ne survit généralement pas. Dans de rares cas connus, ces enfants étaient des chimères, avec des cellules féminines et masculines. Il est plus rarissime encore que cela aboutisse à la naissance de jumeaux. Des jumeaux similaires existent peut-être, mais pourraient "ne jamais être identifiés", selon les auteurs.

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Ce qui me touche le plus dans cet article c'est le fait qu'il y est possibilité (réelle) d'une condition hermaphrodite. Je suis en train de me demander quel parcourt psychologique cela peut entraîner. Quelle partie sexuelle prédominera sur l'autre. serait-ce un homme efféminé ou bien une femme plus masculine? Déjà qu'il est difficile de se situer en soit-même, alors avoir la bi-polarité sexuelle est assez troublante. Quelle vie sexuelle peut attendre cette future personne ? surtout sa vision par l'autre, la personne aimée. C'est un sujet très vaste! j'en reparlerais.

AAAAhhh Queen...

Groupe de tout mes désirs...

Rencontre percutante lors de mes 15 ans...

J'aime le rock en général plus ou moins dur, plus ou moins électrique...Queen regroupe tout ce que j'aime. Comment se passer de la Red Special de Brian May ? ce son si particulier qui fait venir des frissons partout...
Je peux passer des mois sans avoir l'envie ou le besoin de les écouter mais quand, par le plus grand des hasard des ondes radios ou des mystères de la lecture aléatoire de mon lecteur, je retombe sur eux... j'arrête ce que je fait, mes yeux deviennent vagues, une chaleur diffuse envahie mon corps, un long frisson qui part de mes pieds et me remonte le long du corps, finissant par une légère chair de poule... et là je me dit que oui, OUI pour toujours !

J'aime autant les chansons calmes, que les plus actives...Attention, je ne dis pas que toutes sont fabuleuses mais j'avoue qu'une grande majorités me plaisent.

Je connais beaucoup deconnectees comme tout bon fan qui se respecte, mais je n'irais pas pleurer le jour anniversaire de la mort de Freddie mais je regrette de n'avoir pas pu les voir en concert au moins une fois.

Queen...

Lilly of the valley, Made in heaven, under pressure, bohemian rapsody...

Je les aime et puis c'est tout.